jeudi 20 août 2009

UMP : la Stratégie pour 2012 est en Marche




Quoi que les gens en disent, force est de constater que l’UMP, reste et demeure un parti ayant une stratégie bien élaborée. Les mouvements qui s’opèrent au sein des partis politiques français attestent plus ou moins de cette réalité. En effet, en observant le paysage politique français, l’on voit clairement que les partis les plus importants sont politiquement dévastés. Pendant la campagne présidentielle de 2007, le candidat Sarkozy a fait en sorte d’acquérir les électeurs du Front National, ce qui a entraîné la chute de ce parti. Après son élection, l’ouverture à gauche a détruit le Parti socialiste et est en partie responsable de cet affrontement permanent des membres du Parti socialiste. Maintenant il fréquent d’entendre parler d’une possible alliance du parti de phillipe De Villiers et de l’UMP. A en voir tous ces faits, force est de constater que la stratégie de l’UMP est claire. Cette stratégie consiste à phagocyter tous les partis et toutes les entités politiques pouvant être des concurrents sérieux pour diminuer leur force, leur aura, les décrédibiliser dans le but d’augmenter la force de frappe de l’UMP de façon a ce qu’en 2012, il n’y ait aucune formation politique capable de faire obstacle a ce parti dans sa course à la présidentielle. Donc en ce moment l’UMP prépare secrètement les échéances de 2012.

Cette stratégie est bonne car elle s’avère payante jusque la, et si tout cela continue, en 2012 les électeurs ne pourront voter que de deux manières, c’est-à-dire un vote pour ou un vote contre l’UMP et son candidat, vote qui cependant n’empêcherait sûrement pas ce parti et son candidat de remporter haut les mains les futures élections présidentielles.


Etats-Unis : Dur dur le changement




Ils étaient nombreux à scander le désormais célèbre slogan Yes we Can de Barack Obama après sa victoire du 4 août 2008 lors de l’élection présidentielle. Certes Obama a promis le changement, mais lorsque celui veut mettre en place certaines phases de ce changement, il y a des réticences au sein de la société américaine. Cependant, Obama n’est pas totalement contesté. Car ce que l’on ne dit pas, c’est qu’une grande partie des américains soutiennent aussi les réformes du système de santé. La contestation entrainée par cette réforme du système de santé américain montre bien qu’il y a deux problèmes soulevés par cette question. Le premier réside dans le fait que des craintes empreintes de conservatisme demeurent au sein cette société qui se veut évolutive et ouverte au changement. Et ces craintes se fondent sur le fait que les états qui sont socialistes ont souvent des difficultés sur le plan économique. Le second problème vient du fait que les lobbies, les politiques et autres adversaires républicains d’Obama opposés à cette réforme jouent sur le conservatisme et les craintes de certaines parties de la population pour créer une agitation visant à le décrédibiliser, et réduire considérablement son auditoire assez élevé.Ils savent qu'ils ont une carte à jouer car il veulent gagner la majorité au sénat et au congrès. Ils passent par tous les moyens pour faire baisser sa cote et diminuer son aura : pressions, médias, manifestations, diffamations, etc… En effet, la grande communication et les talents d’orateur de monsieur Obama lui permettent assez souvent de convaincre une grande partie des américains. Ses adversaires tentent alors de l’affronter et le faire échouer sur son propre terrain qui est celui de la communication, d’où toutes ces manœuvres. Toujours est-il que si le président arrive à calmer les craintes et appliquer sa réforme du système de santé dans un pays aussi fondamentalement et historiquement libéral tel que les Etats-Unis, ce serait une énorme révolution, un énorme changement pour Barack Obama et pour le peuple américain lui-même. Si tel est le cas alors, c’est que comme les slogans de campagne le disaient, tout est vraiment possible dans ce pays. Si tel n’est pas le cas, alors le mandat de Barack Obama en prendrait un sérieux coup.



jeudi 6 août 2009

Le Stress au travail: Quelles solutions?



Lorsqu'on parle de capitalisme, on parle de profit, de productivité, d'entrepreneur, etc...
Mais cette logique du profit crée la course à la productivité et à la production de masse,et malgré les avancées technologiques,la machine n'a pas tout a fait remplacé l'homme, et de ce fait, l'homme reste au centre du système productif. Mais au fur et a mesure que le temps passe, et que la concurrence et les besoins en productivité des entreprises se sont accrues, l'homme, centre du système, en est devenue la victime. Et les choses ne s'arrangent pas avec la crise. Résultat: de nombreux employés se suicident, font dépressions nerveuses, ou sont atteints de maladies graves liées au stress. Et cette tendance tend a s'accroitre. Nombreuses sont les entreprises qui font passer ces faits sous silence, a cause des médias, et de toute la cohue que cela pourrait occasionner. Les familles des victimes sont dédommagées dans le secret. Mais ce problème est et reste réel. Le salarié se sent chosifié,déshumanisé. Il devient un outil de production et on lui demande d'en faire toujours plus. On se préoccupe plus de son résultat que de son état mental, physique, et émotionnel. C'est ce qui entraine ce genre de situation désagréable. Et avec la montée du chômage, beaucoup d'employés souffrant de ces situations, ont peur, soit de perdre leur emploi, soit de démissionner car ils veulent continuer a vivre de façon décente et correcte avec leur famille. Alors comment résoudre ce problème? Peut être qu'il faudrait par exemple inclure dans la rémunération des salariés une clause qui inclut le stress occasionné par le travail demandé au salarié. Cette clause aurait par exemple comme résultat la revalorisation du salaire, de façon à le motiver et à l'encourager dans son travail. Il faudrait que les entreprises organisent des bilans ou des séances de discussions avec les salariés pour se rendre compte de certains états de fait et ainsi prendre les mesures adéquates, etc.... Une autre solution à ce problème pourrait être aussi l'entrepreneuriat, car il donne à l'entrepreneur plus de liberté et moins de stress dans son action.