Cette année De nombreux pays d'Afrique francophone fèteront 50 ans d'indépendances de leurs divers pays. Mais 50 ans après 1960, rien ne semble aller. c'est pourquoi il est toujours fréquent d'entendre les occidentaux parler d’Afrique très souvent en termes de pauvreté, de maladies, de guerres en tous genres, d’illettrisme, etc.… Si l’on en croit les médias, les informations venant des pays développés, aucun propos n’est assez mauvais pour qualifier l’état de l’Afrique. Dans le meme temps ces occidentaux n'ont jamais cessé de nuire à l'Afrique a travers les relations qu'ils entretiennent avec les dits pays d'Afrique.
Il est certes vrai que les africains, responsables de l’état de l’Afrique telle qu’elle est aujourd’hui la mettent a mal a cause de plusieurs facteurs récurrents.
Le point principal est le suivant, la mentalité. En effet l’Afrique est victime de la mentalité des africains, qui ne savent pas souvent s’adapter aux évolutions et aux avancées de toutes sortes. Ils sont réfractaires et ont peur du changement, qui serait plus que salutaire pour eux dans le cas de cette Afrique partagée entre pure tradition et modernité. Résultat, ils s’entredéchirent perpétuellement, entraînant l’Afrique dans le chaos matériel résultant du chaos mental et psychique dont nombreux sont l’objet. Mais nonobstant ce fait, il serait quand même nécessaire de rappeler que ce continent a en dépit de tout, un avenir prometteur, a condition que, comme l’a spécifié le président Barack Obama, les africains prennent leur destin en main. Il y a certes des raisons d’espérer, en ce sens que l’Afrique reste toujours ce continent ou il y a d’énormes richesses de toutes sortes, tant sur le plan naturel (ressources minières, ressources naturelles, etc.…) que sur le plan humain (jeunesse de sa population). De par son sous développement, ce continent demeure aussi celui qui est en chantier a tous les niveaux, et par la même occasion celui ou il faut apporter beaucoup en termes d’innovation, d’économies, d’éducation, d’entreprises, etc.…. Donc l’Afrique reste un continent à grande marge de développement.
C’est pourquoi la fuite des cerveaux est désastreuse pour l’Afrique car elle ne sert qu’à renforcer les plus forts et affaiblir les plus faibles. Les pays dit développés possèdent déjà toutes formes de moyens et toutes formes de possibilités. Alors a quoi ca sert d’aller renforcer et surpeupler des pays déjà surpuissants a touts les niveaux comparés a l’Afrique ? Lorsque les lettres de motivation sont écrites, nombreux font montre de leur expérience et de leur savoir faire et de leur compétences qu’ils souhaitent mettre a profit des entreprises dans les pays développés. Mais a bien regarder qu’apportent les africains à des pays qui ont déjà des chercheurs, des économistes, des chimistes, des intellectuels des infrastructures ? Lorsque les cerveaux partent, à qui laissent-ils l’Afrique ? Et bien, il est plus que vital que les africains regardent autour d’eux. Les européens travaillent au bien être de leur continent, les chinois font de même, les américains pareil, alors, eux, que font-ils à l’extérieur ? C’est-à-dire chez les autres, dans les autres pays ? Pendant que chacun s’occupe de son continent, que font les africains ? Ils sont dans les pays des autres, a admirer le travail accompli par ceux ci, à profiter de leur richesse, se prendre en photo devant leurs places publiques et autres monuments pendant que certains ont délaissé leur Afrique et que certains ne pensent même plus y revenir, si ce n’est juste le temps des vacances, ou encore pour étaler leur pseudo richesse ou pseudo réussite. Ou encore il y a d’autres qui vont dans leurs pays comme si ils allaient faire du tourisme, avec appareil photo, chapeau, lunettes de soleil et fiesta à gogo. Et c’est ainsi chaque année.
Il est certes vrai que les africains, responsables de l’état de l’Afrique telle qu’elle est aujourd’hui la mettent a mal a cause de plusieurs facteurs récurrents.
Le point principal est le suivant, la mentalité. En effet l’Afrique est victime de la mentalité des africains, qui ne savent pas souvent s’adapter aux évolutions et aux avancées de toutes sortes. Ils sont réfractaires et ont peur du changement, qui serait plus que salutaire pour eux dans le cas de cette Afrique partagée entre pure tradition et modernité. Résultat, ils s’entredéchirent perpétuellement, entraînant l’Afrique dans le chaos matériel résultant du chaos mental et psychique dont nombreux sont l’objet. Mais nonobstant ce fait, il serait quand même nécessaire de rappeler que ce continent a en dépit de tout, un avenir prometteur, a condition que, comme l’a spécifié le président Barack Obama, les africains prennent leur destin en main. Il y a certes des raisons d’espérer, en ce sens que l’Afrique reste toujours ce continent ou il y a d’énormes richesses de toutes sortes, tant sur le plan naturel (ressources minières, ressources naturelles, etc.…) que sur le plan humain (jeunesse de sa population). De par son sous développement, ce continent demeure aussi celui qui est en chantier a tous les niveaux, et par la même occasion celui ou il faut apporter beaucoup en termes d’innovation, d’économies, d’éducation, d’entreprises, etc.…. Donc l’Afrique reste un continent à grande marge de développement.
C’est pourquoi la fuite des cerveaux est désastreuse pour l’Afrique car elle ne sert qu’à renforcer les plus forts et affaiblir les plus faibles. Les pays dit développés possèdent déjà toutes formes de moyens et toutes formes de possibilités. Alors a quoi ca sert d’aller renforcer et surpeupler des pays déjà surpuissants a touts les niveaux comparés a l’Afrique ? Lorsque les lettres de motivation sont écrites, nombreux font montre de leur expérience et de leur savoir faire et de leur compétences qu’ils souhaitent mettre a profit des entreprises dans les pays développés. Mais a bien regarder qu’apportent les africains à des pays qui ont déjà des chercheurs, des économistes, des chimistes, des intellectuels des infrastructures ? Lorsque les cerveaux partent, à qui laissent-ils l’Afrique ? Et bien, il est plus que vital que les africains regardent autour d’eux. Les européens travaillent au bien être de leur continent, les chinois font de même, les américains pareil, alors, eux, que font-ils à l’extérieur ? C’est-à-dire chez les autres, dans les autres pays ? Pendant que chacun s’occupe de son continent, que font les africains ? Ils sont dans les pays des autres, a admirer le travail accompli par ceux ci, à profiter de leur richesse, se prendre en photo devant leurs places publiques et autres monuments pendant que certains ont délaissé leur Afrique et que certains ne pensent même plus y revenir, si ce n’est juste le temps des vacances, ou encore pour étaler leur pseudo richesse ou pseudo réussite. Ou encore il y a d’autres qui vont dans leurs pays comme si ils allaient faire du tourisme, avec appareil photo, chapeau, lunettes de soleil et fiesta à gogo. Et c’est ainsi chaque année.
Mais cependant, l’état de l’Afrique et les évènements récents montrent que les africains commencent peu à peu à prendre conscience de certaines réalités. Les chiffres économiques de l’Afrique montrent que l’Afrique traverse ces récentes années une phase de croissance économique assez encourageante. Et les évènements politiques tels que les soulèvements qui arrivent après les règnes monarchiques des dignitaires de la Francafrique montrent une certaine prise de conscience des africains en ce qui concerne la prise de leur destin. Maintenant il faut agir, et c’est la que le bas blesse, parce que c’est la mise en place d’une action. Seule une action coordonnée pourrait entrainer des résultats palpables. Mais nombreux sont ceux qui veulent un changement, mais peu sont ceux qui sont prêts a mener une action. Les africains ont encore peur du changement car ils ont peur de la révolution. C’est la le vrai problème. Et leur peur est légitime car qui parle de révolution parle de lutte, de répression, ou de mort par exemple. Lorsqu’il y a révolution, il y a toujours bain de sang. Surtout dans le cadre de l’Afrique, ou la répression est souvent forte. Mais il existe des solutions pour faire des révolutions non violentes, car une révolution n’est rien d’autre qu’un changement. Or le changement passe par tous ces processus qu’on le veuille ou non. Tout ce qui reste à faire c’est à attendre patiemment ou provoquer tout simplement l’élément déclencheur. Car il y a des signes qui sont avant coureurs du changement qui se profile en Afrique.
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