jeudi 19 août 2010

Qu’est ce que le développement ?


L’état actuel du monde occidental pousse à se poser cette question. En général, le développement est plutôt perçu comme un développement d’ordre économique. C’est pourquoi, en général les pays dits riches sont les pays dits développés. Mais comme la maxime le dit, l’argent ne fait pas le bonheur, mais est-il possible d’affirmer qu’il fasse le développement ?

Cette apparente réussite financière occidentale est un cache misère, dans le sens ou ces pays apparemment dits riches sont des sociétés de production de pauvres. En effet une bonne partie des citoyens de ces pays ont du mal à vivre de la richesse de leurs pays. Ils croulent sous le poids des impôts, des dettes, en raison de la vie chère. Au fur et a mesure que le temps passe, les situations de ces pays ne s’améliorent pas. Tout ceci entraîne les crises économiques, sociales, et morales. La fracture sociale est énorme entre les riches et les pauvres, qui sont toujours majoritaires, et dont le nombre ne cesse de croître dans ces pays. On pourrait résumer tout cela par ceci : pays riches, pauvres gens bien habillés, mais malheureux. Sachant que le développement est censé permettre aux citoyens de s’épanouir dans une société leur garantissant des bonnes conditions de vies, peut-on dire que ces sociétés sont vraiment « développées » ?

D’autre part quel est le bon modèle de développement ? Se développer signifie-t-il construire des routes a tout bout de champ en détruisant la végétation, fabriquer toutes sortes de produits, technologiques, chimiques, etc. qui détruisent la nature et l’environnement? Se développer signifie-t-il avoir une voiture, des portables ? Ou encore construire des immeubles, qui ne sont rien d’autre qu’entassement et superposition de personnes les unes sur les autres dans des espaces réduits en raison de la surpopulation dans les villes ?

A vrai dire il n’existe pas de bon modèle de développement. Le seul modèle de développement est celui qui permet aux citoyens d’un pays de s’épanouir et de vivre en harmonie avec eux-mêmes et avec les autres peuples. Cela est une des raisons pour lesquelles il est possible d’affirmer que chaque pays devrait normalement avoir son propre modèle de développement, c’est-à-dire le modèle le plus approprié compte tenu de sa situation.



Le problème migratoire en Europe

Il est coutume d’entendre qu’il y a un nombre d’immigrés de plus en plus grandissant en Europe. Mais quels sont en réalité les réels fondements de ces assertions ? A vrai dire ces assertions ne se basent sur rien de sérieux car il n’existe pas de chiffres officiels permettant de quantifier les immigrés, manière a savoir leur nombre total. Combien d’immigrés entrent en France chaque jour ? Combien en sortent ? A vrai dire ces informations sont floues, ce que fait que personne ne le sait vraiment.

Si il n’existe aucune preuve que le nombre d’immigrés est croissant, en hausse, ou en baisse, cela signifie que tout ce tintamarre xénophobe autour de la question migratoire n’est qu’idéologie, Ou que tout un chacun répète tout bonnement ou tout bêtement ce qui est annoncé à la télévision. Au passage est il nécessaire de rappeler que c’est a la télé que de nombreux mensonges circulent ? Il est certes vrai qu’il y a de immigrés en Europe, mais sont ils aussi nombreux qu’on nous le dit ? En général les populations migrantes sont massivement dans les villes les plus connues d’Europe. Au sortir de ces villes, ces populations se comptent sur le bout des doigts. Elles sont parfois inexistantes dans certains endroits.

Alors si les immigrés ne sont essentiellement que dans les grandes villes, sont-il aussi nombreux que l’Europe essaie de faire croire ? D’autre part doit-on croire ce que disent les médias, sachant que dans les périodes difficiles les gouvernements soulèvent la question migratoire, notamment en vue de masquer leurs échecs et leurs impuissances à résoudre les problèmes de fond qui leur sont posés ?

jeudi 1 avril 2010

Politique, du rève à la réalité



Les politiques actuels sont beaucoup décriés de par le monde. Ca et là des marches de protestation sont organisées contre eux, des grèves et ils sont sans cesses sous le feu des critiques. Cela est du au fait que les gens se sentent déçues, victimes et non bénéficiaires des nombreuses politiques mises en place dans les pays. En effet, à regarder les nombreuses manifestations contre la politique qui sont organisées par les divers peuples de divers pays à travers le monde en fonction des différentes périodes que les pays traversent (crises, chômage, pauvreté, etc.), on peut affirmer que de nombreuses personnes sont continuellement déçues de la politique, et surtout de son incapacité chronique a résoudre les problèmes posés. Et le fait que les politiques font de nombreux discours et promesses, mais ne les tiennent pas ne fait qu’accentuer cette vision des choses. Mais ce que de nombreuses personnes oublient ou ne savent pas c’est que la politique c’est juste une somme d’idées émises par des groupes de personnes, de manière a organiser une société, un état, ou un pays de manière théorique de façon a le guider dans un sens ou dans un autre. La politique n’est donc que de la théorie, de l’idéologie. Même si au regard de la loi il possède un grand pouvoir théorique, dans la pratique, le politique ne peut rien faire tout seul, a part faire des discours, et prendre des décisions. On le remarque bien dans le système américain par exemple ou le président doit, pour faire passer une loi convaincre le congrès et le sénat. Les états unis ne sont pas le seul cas du genre, car même si dans d’autres pays le politique parait avoir une force décisionnelle importante, il a besoin des partenaires sociaux. Il est même obligé de les consulter. En effet que peut faire un politicien s’il promet par exemple a un peuple de construire un hôpital, de tracer une route, d’augmenter des salaires et que les partenaires sociaux refusent de lui fournir les fonds pour mener à bien son projet ? Ou que les caisses de l’état sont vides ? Il faut donc comprendre par la que l’utilité de la politique est donc dans l’organisation de la société car si il n’y avait pas de politique, peut être qu’il n’y aurait pas d’état et d’idée de société. Il faut comprendre aussi que chaque personne est un acteur majeur de son environnement, et de ce fait peut et doit œuvrer à ce qu’il s’améliore. À bon entendeur, salut.



mercredi 24 février 2010

Qui aide vraiment Haiti?




Depuis le violent tremblement de terre qui a secoué gravement Haïti, l’aide internationale s’est déployée a partir de divers endroits du monde pour aider cette île. Mais cette solidarité apparente cache de nombreux intérêts. En effet Haïti est une île volcanique, et comme toutes les îles volcaniques, elle regorge d’un sol fertile, de ressources et d’un potentiel naturel qui ne dit pas son nom. Selon les scientifiques Daniel et Ginette Mathurin, le sous sol d’Haiti est riche en hydrocarbures et en combustible fossile et il existe même 20 sites pétrolifères dont 5 sont de grande importance. Une des plus des plus importantes ressources dont l’île dispose est donc le pétrole! Voila pourquoi les pays riches veulent « aider » Haïti. Il y a la du pétrole et d’autres hydrocarbures. Il y a la aussi d’importants marchés, notamment pour ce qui concerne la reconstruction des bâtiments antisismiques, l’alimentation, la santé, etc. Tous ces pays y voient la un marché pour écouler leurs produits et gagner de l’argent. En effet lorsque qu’on voit ce déferlement de solidarité on est bien tenté de se demander : ou était la solidarité internationale de ces pays riches qui possèdent des spécialistes du climat, des scientifiques, des sismologues lorsqu’il s’agissait de prévenir Haïti en vue parer a une éventualité comme les tremblements de terre, notamment en essayant d’aider à construire des bâtiments anti sismiques par exemple ?

Cette question est légitime car sachant le positionnement géographique de cette île, et les catastrophes naturelles fréquentes qui rythment la vie de l’ile, un séisme dans cette zone n’était pas à exclure. Mais vu le déroulement des évènements, on pourrait penser que sachant cette éventualité, les scientifiques occidentaux ont préféré laisser faire, et ne pas prévenir. On pourrait aussi soutenir la thèse selon laquelle leur coup était bien préparé. Il s’agissait de laisser volontairement Haïti totalement vulnérable face à cette catastrophe naturelle qui se profilait à l’horizon pour pouvoir en suite imposer des tas de lois a travers des aides fallacieuses et vicieuses, visant a augmenter la main mise sur les richesses du pays en échange de sa reconstruction et de son réapprovisionnement.

Tout le monde prétend aider Haïti, à travers les nombreux détournements de fonds qui sont en cours, et ce, malgré les bonnes volontés. En effet qui n’a pas remarqué le nombre croissant d’associations qui prétendent vouloir collecter des dons financiers pour pouvoir venir en aide à la dite île ? A ce jour qui peut avec certitude dire la valeur exacte des sommes qui ont déjà été déboursées dans le cadre de cette solidarité internationale ? Tout le monde prétend aider Haïti à travers le trafic d’enfants soit disant orphelins, pour qui certains bénévoles disent nourrir les meilleures intentions. Les médias aussi veulent aider Haïti en exposant toute la misère qui s’y trouve sans aucune retenue. Tout y passe, même les cadavres, types d’images qui ne devraient normalement pas être vues au petit écran, car cela pourrait choquer la sensibilité des gens. Alors qui aide vraiment Haïti ? Qui applique la véritable solidarité internationale ? La solidarité internationale est restée muette depuis des années, malgré toutes les catastrophes et les misères qui frappent l’ile de manière régulière. Alors d’où vient cette solidarité subite ?






jeudi 11 février 2010

Copenhague, et maintenant?


Après avoir été un des évènements majeurs de l’année 2009, le sommet de Copenhague est retourné aux oubliettes et depuis un grand brouillard existe quant a la visibilité de ce qui a déjà été fait et les décisions qui sont en cours d’application au niveau des pays

En réalité, le sommet de Copenhague, n’a débouché sur aucun accord. Les dirigeants de près de 200 pays du monde se sont rencontrés pour rien. Le soit disant accord dont les dirigeants se sont satisfaits, n’est en réalité qu’un simulacre d’accord, juste pour ne pas perdre la face devant les sceptiques quant a la réussite du sommet. En réalité, les pays riches et industrialisés disent vouloir réduire leurs émissions, mais sont bien conscients que cela pourrait affecter dangereusement leurs économies si fragiles en temps de crise.

Le manque de confiance règne entre les dirigeants. Résultat, tout le monde est d’accord dans l’idée, mais pas dans son application concrète, et ceci a cause des intérêts nationaux et économiques. Il n’y a donc pas que la Chine et les Etats-Unis qui entravent l’ébauche de résolution liée au réchauffement climatique et à l’écologie. Il y a aussi l’Europe et meme les pays pauvres. En effet, durant le sommet, les leaders des pays riches, face leur incapacité à se mettre d’accord, ont voulu inciter les leaders des pays pauvres à réduire leurs émissions, en contrepartie d’une aide en milliards d’euros.

De leur coté, les pays pauvres ont décliné cette proposition prétextant que leurs émissions et leurs productions ne sont pas au meme niveau que les émissions des pays riches, et que ceci ne ferait qu’empirer leur situation sur le plan économique. Ceux-ci ont plutôt fait remarquer que les pays riches en leurs qualités de plus gros pollueurs, doivent montrer l’exemple. Et de sommet en sommet, les positions inflexibles des uns et des autres ne changent pas. Si cela continue ainsi, les thématiques de développement durable et la lutte contre le réchauffement climatique vont bientôt êtres rangés au rang de tant d’idéaux et de projets avortés.

L'Union Européenne est-elle une vraie union?




Il ne s’agit pas de se faire des accolades, d’avoir un beau drapeau, et de prononcer des discours fédérateurs pour constituer une union. L’union c’est d’abord et avant tout, un état d’esprit. Et en ce sens l’union européenne n’est pas une vraie union, mais plus une union de façade. L’Europe est un continent historiquement conservateur.

Et malgré les siècles d’évolution et de progrès à tous les niveaux, le conservatisme et les intérêts nationaux et personnels des pays minent cette union. En effet, à part l’union économique et monétaire et la politique d’immigration sur laquelle les pays européens se sont mis plus ou moins d’accord, il n’y a pas de réelle harmonie. Au lieu de penser globalement de manière européenne, les européens pensent de manière nationaliste et eurosceptique. Pour preuve, des voix s’élèvent et des manifestations sont organisées à chaque fois par les populations au sein même de certains pays de l’union pour contester les décisions majeures et les mesures prises dans le cadre de cette union.

Beaucoup de sommets sont tenus au sujet des problèmes de l’union et des problèmes internationaux. Et les dirigeants de l’Europe aiment a s’afficher, faire des beaux discours , et signer des accords mais ensuite retourner dans leurs pays respectifs et ne rien appliquer de ce qui a été décidé. Ces réflexes nationalistes et égoïstes peuvent trouver une justification dans les chocs et les crises socioéconomiques dont ces pays sont l’objet. Toutefois, qu’elle qu’en soit la raison, ils empêchent néanmoins la vraie coordination transnationale nécessaire au bon fonctionnement de toute union de ce type. Alors sur le papier l’union est véritable mais dans l’application concrète, la route est encore longue. Les mêmes qui disent vouloir s’unir sont les mêmes qui au lieu de parler d’identité européenne, préfèrent mettre en avant leurs identités propres. La route vers la vraie union, qui est l’union des pensées est encore longue.





vendredi 8 janvier 2010

Afrique 50 ans après 1960, quel bilan?



Cette année De nombreux pays d'Afrique francophone fèteront 50 ans d'indépendances de leurs divers pays. Mais 50 ans après 1960, rien ne semble aller. c'est pourquoi il est toujours fréquent d'entendre les occidentaux parler d’Afrique très souvent en termes de pauvreté, de maladies, de guerres en tous genres, d’illettrisme, etc.… Si l’on en croit les médias, les informations venant des pays développés, aucun propos n’est assez mauvais pour qualifier l’état de l’Afrique. Dans le meme temps ces occidentaux n'ont jamais cessé de nuire à l'Afrique a travers les relations qu'ils entretiennent avec les dits pays d'Afrique.
Il est certes vrai que les africains, responsables de l’état de l’Afrique telle qu’elle est aujourd’hui la mettent a mal a cause de plusieurs facteurs récurrents.
Le point principal est le suivant, la mentalité. En effet l’Afrique est victime de la mentalité des africains, qui ne savent pas souvent s’adapter aux évolutions et aux avancées de toutes sortes. Ils sont réfractaires et ont peur du changement, qui serait plus que salutaire pour eux dans le cas de cette Afrique partagée entre pure tradition et modernité. Résultat, ils s’entredéchirent perpétuellement, entraînant l’Afrique dans le chaos matériel résultant du chaos mental et psychique dont nombreux sont l’objet. Mais nonobstant ce fait, il serait quand même nécessaire de rappeler que ce continent a en dépit de tout, un avenir prometteur, a condition que, comme l’a spécifié le président Barack Obama, les africains prennent leur destin en main. Il y a certes des raisons d’espérer, en ce sens que l’Afrique reste toujours ce continent ou il y a d’énormes richesses de toutes sortes, tant sur le plan naturel (ressources minières, ressources naturelles, etc.…) que sur le plan humain (jeunesse de sa population). De par son sous développement, ce continent demeure aussi celui qui est en chantier a tous les niveaux, et par la même occasion celui ou il faut apporter beaucoup en termes d’innovation, d’économies, d’éducation, d’entreprises, etc.…. Donc l’Afrique reste un continent à grande marge de développement.

C’est pourquoi la fuite des cerveaux est désastreuse pour l’Afrique car elle ne sert qu’à renforcer les plus forts et affaiblir les plus faibles. Les pays dit développés possèdent déjà toutes formes de moyens et toutes formes de possibilités. Alors a quoi ca sert d’aller renforcer et surpeupler des pays déjà surpuissants a touts les niveaux comparés a l’Afrique ? Lorsque les lettres de motivation sont écrites, nombreux font montre de leur expérience et de leur savoir faire et de leur compétences qu’ils souhaitent mettre a profit des entreprises dans les pays développés. Mais a bien regarder qu’apportent les africains à des pays qui ont déjà des chercheurs, des économistes, des chimistes, des intellectuels des infrastructures ? Lorsque les cerveaux partent, à qui laissent-ils l’Afrique ? Et bien, il est plus que vital que les africains regardent autour d’eux. Les européens travaillent au bien être de leur continent, les chinois font de même, les américains pareil, alors, eux, que font-ils à l’extérieur ? C’est-à-dire chez les autres, dans les autres pays ? Pendant que chacun s’occupe de son continent, que font les africains ? Ils sont dans les pays des autres, a admirer le travail accompli par ceux ci, à profiter de leur richesse, se prendre en photo devant leurs places publiques et autres monuments pendant que certains ont délaissé leur Afrique et que certains ne pensent même plus y revenir, si ce n’est juste le temps des vacances, ou encore pour étaler leur pseudo richesse ou pseudo réussite. Ou encore il y a d’autres qui vont dans leurs pays comme si ils allaient faire du tourisme, avec appareil photo, chapeau, lunettes de soleil et fiesta à gogo. Et c’est ainsi chaque année.
Mais cependant, l’état de l’Afrique et les évènements récents montrent que les africains commencent peu à peu à prendre conscience de certaines réalités. Les chiffres économiques de l’Afrique montrent que l’Afrique traverse ces récentes années une phase de croissance économique assez encourageante. Et les évènements politiques tels que les soulèvements qui arrivent après les règnes monarchiques des dignitaires de la Francafrique montrent une certaine prise de conscience des africains en ce qui concerne la prise de leur destin. Maintenant il faut agir, et c’est la que le bas blesse, parce que c’est la mise en place d’une action. Seule une action coordonnée pourrait entrainer des résultats palpables. Mais nombreux sont ceux qui veulent un changement, mais peu sont ceux qui sont prêts a mener une action. Les africains ont encore peur du changement car ils ont peur de la révolution. C’est la le vrai problème. Et leur peur est légitime car qui parle de révolution parle de lutte, de répression, ou de mort par exemple. Lorsqu’il y a révolution, il y a toujours bain de sang. Surtout dans le cadre de l’Afrique, ou la répression est souvent forte. Mais il existe des solutions pour faire des révolutions non violentes, car une révolution n’est rien d’autre qu’un changement. Or le changement passe par tous ces processus qu’on le veuille ou non. Tout ce qui reste à faire c’est à attendre patiemment ou provoquer tout simplement l’élément déclencheur. Car il y a des signes qui sont avant coureurs du changement qui se profile en Afrique.

mardi 5 janvier 2010

Bonne Année 2010



Bonjour à tous et a toutes. et Bonne Année 2010. Après un mois d'absence de publications, le blog d'actualité sera a nouveau alimenté de pleins d'articles. Beaucoup de joie, de santé de bonheur, et plein de bonnes choses.Le Blog d'Actualité vous souhaite une Bonne Année 2010!!!