Le NPA est un mouvement politique qui vient tenir son congrès de formation début février 2009. Plus que jamais, au moment ou la triple crise économique, sociale et écologique s’approfondit et s’accélère, notre but est de rassembler toutes les forces qui veulent sortir de l’ère du profit, rompre avec le capitalisme, pour ouvrir la voie a une société inédite, démocratique et égalitaire, féministe et écologiste. Telle est la définition qui se trouve sur http://www.npa2009.org , le site Internet du Nouveau Parti Anticapitaliste. En réalité, ce soi-disant nouveau mouvement qui est issu d’une mutation de l’ancienne Ligue Communiste Révolutionnaire (L.C.R) a un projet de société qui ressemble étrangement à des projets de société de partis politiques ayant existé par le passé, ou qui existent encore aujourd’hui, car le projet d’une société démocratique, égalitaire, écologique, etc. est souvent mis en avant par de nombreux partis politiques pour gagner l’adhésion des foules. Ce parti inclut la dimension écologique en son sein comme les autres partis politiques, qui surfent sur la vague du développement durable et les craintes suscitées par le changement climatique pour être en phase avec l’actualité médiatique et politique. Alors ou est le changement que ce parti souhaite apporter sur l’échiquier politique français ? Ce parti affirme vouloir créer une société inédite. D’une part, le mot inédit n’est-il pas la un terme flou et vague qui témoigne des buts utopistes et irréels de ce parti ? Et d’autre part, par quels moyens ou dans quelle mesure ce parti compte rompre avec le capitalisme, système de base de la majorité des pays du monde, qu’ils soient riches ou pauvres ? Sachant que les problèmes principaux des français sont actuellement d’ordre économique avec la montée du chômage, le faible pouvoir d’achat et les bas salaires, peut on dire que ce parti est réellement en phase avec l’actualité ? Les représentants du NPA s’expriment beaucoup sur Internet, aux moyens de tracts et de journaux, font beaucoup de déclarations à la presse, mais ont du mal à agir de façon concrète. Est-ce que cela est du à un manque de moyens, une absence de militants ou est ce à cause du caractère néophyte du parti ? Ou est ce tout simplement un manque d’efficacité, de stratégie, de vrai projet réaliste ? Comme le montre son logo, qui représente une main équipée d’un porte voix, le NPA est encore au stade de moulin à paroles. Il est beau de parler, mais lorsqu’on veut être crédible, il faut agir, et au niveau des actes, le NPA n’est pas encore passé à l’action, chose importante en politique.
vendredi 27 novembre 2009
lundi 16 novembre 2009
Attention, vie privée sous surveillance
Passé de l’état de rumeur à l’état de fait avéré dans de nombreux cas, l’espionnage devient monnaie courante sur internet. Spams, spywares, collecte d’informations, rien n’est laissé au hasard. Tout est espionné. C’est la aussi que l’expression village planétaire prend tout son sens car grâce à internet, tout le monde se connait comme dans un petit village, tout le monde sait tout sur tout le monde. De nos jours, même les entreprises s’y mettent. Il existe de plus en plus d’entreprises qui espionnent la vie privée, les profils, les photos et le type de fréquentations de leurs salariés sur les réseaux sociaux (Facebook, LinkedIn, Hi5, Netlog, etc.) avant de recruter, ou encore pour s’en servir plus tard comme causes de sanctions disciplinaires ou de licenciements. Et ce phénomène évolue de manière exponentielle. Désormais, le salarié et celui qui est a la recherche d’emploi ont une image. Selon un sondage Harris Interactive pour carrerbuilder.com, 45% des employeurs consultent les réseaux sociaux aux Etats-Unis (29% utilisent Facebook, 26% LinkedIn, 21% MySpace) et 35% des employeurs indiquent avoir découvert des contenus qui les ont dissuadé d’embaucher. Le Fisc en fait de même pour en savoir plus sur le niveau de vie réel des personnes qui déclarent leurs impôts. Et certaines entreprises arrivent à leurs fins, malgré les politiques de confidentialité mises en place sur ces réseaux sociaux. En principe, l’employeur ne peut pas utiliser des moyens liés aux NTIC pour espionner les salariés, ni licencier un salarié pour des faits qui relèvent de sa vie privée. Il a le droit de licencier le salarié que si les faits qui lui sont reprochés causent un préjudice, un trouble caractérisé a l’entreprise. Alors sachant que tout ce qui n’est pas interdit par la loi est autorisé, est ce que les entreprises ont le droit de faire cela ? Si oui, alors qu’en est-il du respect de la vie privée ? Si aucune mesure n’est prise par la loi ou les états pour lutter contre ce phénomène, alors il faudrait que les internautes luttent contre ce phénomène en créant des associations ou des syndicats pour une réglementation au sujet des entreprises et des réseaux sociaux, ou qu’ils prennent en compte cet aspect des choses avant de publier quelque chose sur les réseaux sociaux.
mercredi 11 novembre 2009
Ecole francaise en perte de vitesse
Classes pleines à craquer, enfants indisciplinés, professeurs démotivés et parfois agressés par leurs élèves, absentéisme, vols, pickpockets en tous genres, les évènements ayant lieu dans bon nombre d'écoles en France ressemblent assez souvent à des évènements ayant lieu dans un ghetto,une zone de non-droit ou un endroit malfamé. L’école ressemble donc plus à un ghetto qu’a un lieu d’éducation. Et pour résoudre les problèmes de l’école beaucoup de personnes, de ministres ont tenu moult sommets, congrès, et réunions pour recréer les conditions adéquates pour que l’école se porte mieux. Mais rien n’y fait. Pire, récemment il était question, pour lutter contre l’absentéisme scolaire de promettre des sommes d’argent aux élèves qui se rendraient en cours. Mais au fait quelles valeurs souhaite-t-on transmettre à des enfants à qui on remettrait des sommes d’argent pour aller en cours ?
Etant donné que les problèmes de l’école sont des problèmes liés à l’éducation, il faudrait aussi souligner que bon nombre d’enfants largués du système scolaire sont aussi victimes de l’absentéisme parental dans leur environnement immédiat. En effet ou sont les parents des enfants qui se promènent a des heures tardives dans les rues, pour s’adonner a toutes sortes de vices ? Résultat, de nombreux jeunes sont livrés à eux-mêmes, sans projets, sans repères et sans ambitions. Dans le même temps que faut-il attendre de jeunes qu’on ne peut pas vraiment qualifier de mal éduqués, mais plutôt de non éduqués ? Il serait plus préférable d’utiliser le terme non éduqué pour qualifier ces jeunes, car c’est parce qu’ils manquent de suivi régulier sur tous les plans qu’ils sont dans cette situation. Ces jeunes, étant donné leur manque de maturité apparent, ont besoin d’autorité. Une autorité assez conséquente sur le plan scolaire et parental ainsi qu’un suivi psychologique seraient les bienvenus pour ces jeunes en perte de repères. Dans le même temps ne faudrait-il pas une refonte complète de tout le système scolaire, en passant par la revue des programmes, des pédagogies, des méthodes d’enseignement et d’évaluation de façon à redynamiser l’école, la transformer et la rendre plus attractive ? Cela pourrait ressusciter l’intérêt pour l’école et l’éducation du coté des parents, des élèves et des professeurs.
jeudi 22 octobre 2009
La mentalité africaine actuelle et les problèmes de l’Afrique
Il est très fréquent d’entendre les africains pointer du doigt leurs états et leurs gouvernements comme étant la cause de leurs problèmes. En effet, selon beaucoup d’entre eux c’est toujours le gouvernement, le président de la république, en somme toute l’état qui est responsable de leurs maux. L’africain s’exclut lui-même de sa conception de la nation. Tout ceci à cause de son sectarisme et de son individualisme. Il est souvent fréquent d’entendre parler de solidarité africaine, mais cette solidarité n’est réellement qu’une solidarité de façade. Il n’en est rien dans le fond. L’africain a gardé des séquelles de son passé tribal (son attachement a son ethnie, sa tribu, sa région, castes, etc.…).Cela fait qu’il a du mal a s’imaginer comme faisant partie intégrante d’une nation, il a donc du mal a se considérer comme un acteur majeur de sa nation. En conséquence il existe juste une petite place pour une véritable unité nationale, qui est un des piliers d’une nation. L’africain s’enferme cependant involontairement dans un certain sectarisme et devient sans le savoir lui-même sectaire et individualiste. Il ne pense pas aux gens qui sont autour de lui, ni à son pays. Il ne pense qu’a sa famille, qu’a son village, sa région etc. Aussi lorsqu’il a réussi dans la vie, cette tendance se confirme. Il pense très peu à l’avancée de son pays, même lorsqu’il a beaucoup de moyens. Il oublie que son pays lui appartient et qu’il y a un rôle à jouer. En conséquence, des mésententes suivies de conflits naissent entre des peuples d’un même pays, des guerres éclatent, etc.… et l’africain se met à accuser l’état, le gouvernement, ou les puissances occidentales des maux de son pays. Cela est peut être vrai dans un sens, mais tout un chacun a une part de responsabilité dans son pays. Et l’africain a aussi sa part de responsabilité dans ce qui se passe en Afrique. Alors comme le dicton le dit, il ne s’agit pas de se demander ce que son pays peut faire pour soi, mais ce qu’on peut faire pour son pays. A méditer.
L’Asie, futur centre du monde ?
La montée en puissance de
mercredi 7 octobre 2009
Le CROUS, toujours soucieux des étudiants?
Après le reportage concernant les problèmes liés au logement étudiant qui a été diffusé le dimanche 04 octobre 2009 sur la chaine M6, il est important éclaircir certains points d’ombre, notamment sur les relations entre le C.R.O.U.S et les étudiants. Dans le reportage, le C.R.O.U.S à été dépeint comme une organisation soucieuse des étudiants qui ne recevait pas assez d’argent de la part de l’état pour mener à bien ses projets. Cela est vrai si l’on s’en tient à ce reportage. Et ces problèmes administratifs rencontrés par le C.R.O.U.S, organisme social par définition entrainent parfois des situations et des relations bien souvent houleuses entre cet organisme et les étudiants. Il est bien vrai qu’il existe des personnes malhonnêtes dans chaque niveau de la société, et ceci est aussi vrai pour les étudiants, mais ces nombreux malhonnêtes sont une minorité dans la majorité des étudiants qui font face à d’énormes difficultés, notamment financières pour subvenir à leurs besoins quotidiens. Aussi, le C.R.O.U.S, bien conscient des difficultés des étudiants exerce régulièrement des pressions sur ceux-ci par le biais de ses agents. Non seulement les étudiants sont mal logés, et assez souvent dans des conditions exécrables (couloirs mal éclairés, toilettes à hygiène quasi-inexistante, locaux très vétustes) et, lorsque ceux ci sont en proie à de grosses difficultés financières ou des problèmes pour payer leurs loyers, il s’en suit des lettres de menaces, des blocages de portes a leur insu, convocations au tribunal, etc. Dans le pire des cas, les étudiants sont expulsés des résidences avec le concours des huissiers de justice et de la police, qui viennent avec grands renforts pour imposer des mauvais traitements à des étudiants à qui on reproche des retards de loyer. Ces étudiants se retrouvent parfois dans la rue ou dans des squats, livrés à eux-mêmes et sans solutions immédiates vu que tout se fait aujourd’hui avec de l’argent, denrée rare chez ceux-ci. Comment peuvent-ils étudier et réussir dans ces conditions ? Le C.R.O.U.S est avare en activités éducatives pour les étudiants (manifestations, rencontres, soirées, pots, et divers), qui sont des choses utiles pour une meilleure intégration des étudiants tels les ERASMUS par exemple. Alors est ce que tout ces faits sont la imputables à l’état ? Est ce que c’est la faute a la nouvelle loi qui stipule que les résidences universitaires appartiennent désormais à la commune ou ils sont situés ou est ce que c’est tout simplement la faute au C.R.O.U.S ?
lundi 21 septembre 2009
G20 : Ou est l’aide aux pays du Sud ?
À l’orée du nouveau G20, force est de constater que les mesures d’aide aux pays pauvres décidées depuis le dernier G20 d'avril 2009 avec sourires et grandes empoignades n’ont pas encore vraiment été appliquées. Les récents appels du directeur du FMI, monsieur Dominique Strauss-Kahn et de monsieur Robert Zoellick, président de
le pouvoir est héréditaire en Afrique
C’est une des tendances en Afrique. Les chefs d’états africains ayant eu des règnes de type monarchique sont à leur mort remplacés par leurs fils. Au Togo, Faure, Gnassingbé a succédé à son père après que celui-ci soit mort. Il en fut de même pour Joseph Kabila, qui a succédé à son père Laurent Désiré Kabila. Plus récemment, c’est Ali Bongo Ondimba qui a succédé de à son père, Omar Bongo Ondimba. Ces faits montrent que la logique monarchique se poursuit en Afrique au vu et au su de tous. Alors à quoi servent les mascarades électorales qui sont organisées en Afrique, surtout si l’on connait déjà le vainqueur, avant même que les élections ne se soient déroulées? Pourquoi les républiques africaines ne reviennent-elles pas tout simplement a la monarchie, si dans les démocraties africaines, le pouvoir se transmet de pères en fils comme dans la monarchie ? Il est logique de se poser cette question car l’organisation des républiques africaines est plus proche de la monarchie que de la démocratie. Si cette logique monarchique est toujours respectée, il ne sera pas étonnant de voir par exemple un Karim Wade, fils du président sénégalais ou un Franck Biya, le fils du président camerounais prendre le pouvoir à la suite de son père. Ces deux déjà occupent des postes importants dans les gouvernements dirigés par leurs pères. Alors pourquoi ne se prépareraient-ils pas en secret pour leur succéder ? On pourrait supposer qu’étant donné qu’ils font déjà partie de la vie politique de leurs pays, ils seraient en train de reculer pour mieux sauter. Et, ainsi ils surprendraient tout le monde et deviendraient présidents avec le concours de l’armée de leurs pays lorsque le moment sera venu. Et c’est ce qui risque de se passer réellement. L’Afrique pourrait se réjouir si ces fils de présidents venaient pour apporter un réel changement et rompre avec les politiques de leurs pères. Pour que les problèmes de l’Afrique se règlent, les africains doivent prendre leurs destins en main, arrêter d’avoir la main tendue, réussir par eux-mêmes, faire quelque chose pour leurs pays respectifs, sans faire trop faire confiance aux états et aux dirigeants qui ont l'air de constituer assez souvent en Afrique des groupes d’intérêts privés et personnels.
samedi 12 septembre 2009
Les présidents africains ne connaissent pas la crise
Après les critiques et les accusations de détournement récentes contre Denis Sassou Nguesso, le président de la république congolaise, et feu Omar Bongo Ondimba, ancien président du Gabon, C’est au tour du président Camerounais d’alimenter la polémique. Selon la presse africaine et quelques médias européens tels que RFI, le président de ce pays aurait dépensé pour ses vacances personnelles en France, plus précisément à
jeudi 20 août 2009
UMP : la Stratégie pour 2012 est en Marche
Quoi que les gens en disent, force est de constater que l’UMP, reste et demeure un parti ayant une stratégie bien élaborée. Les mouvements qui s’opèrent au sein des partis politiques français attestent plus ou moins de cette réalité. En effet, en observant le paysage politique français, l’on voit clairement que les partis les plus importants sont politiquement dévastés. Pendant la campagne présidentielle de 2007, le candidat Sarkozy a fait en sorte d’acquérir les électeurs du Front National, ce qui a entraîné la chute de ce parti. Après son élection, l’ouverture à gauche a détruit le Parti socialiste et est en partie responsable de cet affrontement permanent des membres du Parti socialiste. Maintenant il fréquent d’entendre parler d’une possible alliance du parti de phillipe De Villiers et de l’UMP. A en voir tous ces faits, force est de constater que la stratégie de l’UMP est claire. Cette stratégie consiste à phagocyter tous les partis et toutes les entités politiques pouvant être des concurrents sérieux pour diminuer leur force, leur aura, les décrédibiliser dans le but d’augmenter la force de frappe de l’UMP de façon a ce qu’en 2012, il n’y ait aucune formation politique capable de faire obstacle a ce parti dans sa course à la présidentielle. Donc en ce moment l’UMP prépare secrètement les échéances de 2012.
Cette stratégie est bonne car elle s’avère payante jusque la, et si tout cela continue, en 2012 les électeurs ne pourront voter que de deux manières, c’est-à-dire un vote pour ou un vote contre l’UMP et son candidat, vote qui cependant n’empêcherait sûrement pas ce parti et son candidat de remporter haut les mains les futures élections présidentielles.
Etats-Unis : Dur dur le changement
Ils étaient nombreux à scander le désormais célèbre slogan Yes we Can de Barack Obama après sa victoire du 4 août 2008 lors de l’élection présidentielle. Certes Obama a promis le changement, mais lorsque celui veut mettre en place certaines phases de ce changement, il y a des réticences au sein de la société américaine. Cependant, Obama n’est pas totalement contesté. Car ce que l’on ne dit pas, c’est qu’une grande partie des américains soutiennent aussi les réformes du système de santé. La contestation entrainée par cette réforme du système de santé américain montre bien qu’il y a deux problèmes soulevés par cette question. Le premier réside dans le fait que des craintes empreintes de conservatisme demeurent au sein cette société qui se veut évolutive et ouverte au changement. Et ces craintes se fondent sur le fait que les états qui sont socialistes ont souvent des difficultés sur le plan économique. Le second problème vient du fait que les lobbies, les politiques et autres adversaires républicains d’Obama opposés à cette réforme jouent sur le conservatisme et les craintes de certaines parties de la population pour créer une agitation visant à le décrédibiliser, et réduire considérablement son auditoire assez élevé.Ils savent qu'ils ont une carte à jouer car il veulent gagner la majorité au sénat et au congrès. Ils passent par tous les moyens pour faire baisser sa cote et diminuer son aura : pressions, médias, manifestations, diffamations, etc… En effet, la grande communication et les talents d’orateur de monsieur Obama lui permettent assez souvent de convaincre une grande partie des américains. Ses adversaires tentent alors de l’affronter et le faire échouer sur son propre terrain qui est celui de la communication, d’où toutes ces manœuvres. Toujours est-il que si le président arrive à calmer les craintes et appliquer sa réforme du système de santé dans un pays aussi fondamentalement et historiquement libéral tel que les Etats-Unis, ce serait une énorme révolution, un énorme changement pour Barack Obama et pour le peuple américain lui-même. Si tel est le cas alors, c’est que comme les slogans de campagne le disaient, tout est vraiment possible dans ce pays. Si tel n’est pas le cas, alors le mandat de Barack Obama en prendrait un sérieux coup.
jeudi 6 août 2009
Le Stress au travail: Quelles solutions?
Lorsqu'on parle de capitalisme, on parle de profit, de productivité, d'entrepreneur, etc...
Mais cette logique du profit crée la course à la productivité et à la production de masse,et malgré les avancées technologiques,la machine n'a pas tout a fait remplacé l'homme, et de ce fait, l'homme reste au centre du système productif. Mais au fur et a mesure que le temps passe, et que la concurrence et les besoins en productivité des entreprises se sont accrues, l'homme, centre du système, en est devenue la victime. Et les choses ne s'arrangent pas avec la crise. Résultat: de nombreux employés se suicident, font dépressions nerveuses, ou sont atteints de maladies graves liées au stress. Et cette tendance tend a s'accroitre. Nombreuses sont les entreprises qui font passer ces faits sous silence, a cause des médias, et de toute la cohue que cela pourrait occasionner. Les familles des victimes sont dédommagées dans le secret. Mais ce problème est et reste réel. Le salarié se sent chosifié,déshumanisé. Il devient un outil de production et on lui demande d'en faire toujours plus. On se préoccupe plus de son résultat que de son état mental, physique, et émotionnel. C'est ce qui entraine ce genre de situation désagréable. Et avec la montée du chômage, beaucoup d'employés souffrant de ces situations, ont peur, soit de perdre leur emploi, soit de démissionner car ils veulent continuer a vivre de façon décente et correcte avec leur famille. Alors comment résoudre ce problème? Peut être qu'il faudrait par exemple inclure dans la rémunération des salariés une clause qui inclut le stress occasionné par le travail demandé au salarié. Cette clause aurait par exemple comme résultat la revalorisation du salaire, de façon à le motiver et à l'encourager dans son travail. Il faudrait que les entreprises organisent des bilans ou des séances de discussions avec les salariés pour se rendre compte de certains états de fait et ainsi prendre les mesures adéquates, etc.... Une autre solution à ce problème pourrait être aussi l'entrepreneuriat, car il donne à l'entrepreneur plus de liberté et moins de stress dans son action.
mercredi 8 juillet 2009
Chefs d’états africains ou monarques d’état africains ?
C’est la tendance en Afrique. Lorsqu’un une personnalité politique arrive au pouvoir il y passe toute sa vie. Rares sont les faits qui inversent cette tendance sur le continent. L’exemple le plus récent en Afrique est le président Bongo qui a fait plus de 40 ans au pouvoir au Gabon, avant de mourir. Aujourd’hui les présidents de l’Algérie, de
mercredi 1 juillet 2009
Rajoelina : des débuts difficiles
Après les scènes de joies liées à son ascension au pouvoir, Rajoelina est un chef qui demeure contesté. Contesté par la communauté internationale, le nouveau président malgache a mis malgré tout son programme en route. Contesté par des franges de la population malgache qui sont acquises a la cause de M. Ravalomanana, le président déchu, il disperse les manifestations pro-Ravalomanana de manière violente avec l’aide de l’armée et tente d’asseoir son pouvoir par la force. Mais voyant que la contestation de faiblit pas, il sait son pouvoir encore fragile. Et pour se mettre en sécurité et éviter ainsi un retour de l’ex président en exil en Afrique du Sud, il fait condamner celui-ci à quatre ans de prison et à 70 millions de dollars à verser pour avantages injustifiés Quant a Ravalomanana, il accuse
mardi 30 juin 2009
Sarkozy aux Antilles : Opération séduction ?
Quelques mois après les revendications et les heurts aux Antilles et après un remaniement ministériel qui a vu plusieurs têtes tomber, la visite du président français, Nicolas Sarkozy est une opération de communication qui vise a signaler aux antillais que
29 Novembre 2009: Qui va gagner ?
Le 29 novembre est la date a laquelle le gouvernement ivoirien et son président, après moult tractations et hésitations ont fini par se mettre d’accord. Cette élection, qui si elle organisée serait la première de l’après crise, verra la participation de nombreux candidats, entre autres de M Alassane Ouattara, dont l’appartenance a la nation ivoirienne a longtemps été l’objet de polémiques en Cote d’Ivoire. Alors qu’en sera-t-il de ces élections ? Qu’arrivera t-il si Alassane venait à gagner les élections ? Et qu’en adviendra-t-il de guillaume Soro, premier ministre, ancien leader du parti fondé par les Ex rebelles qui résidaient dans le nord de le Cote d’Ivoire ? Ce sont des questions qui restent en suspens car la guerre n’est pas vraiment terminée. Et ces élections pourraient déterminer le retour à la vraie paix ou la reprise des hostilités en fonction du vainqueur. Selon les dires de Laurent Gbagbo,